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Les Chroniques de Londres
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L'ecclesiaste de Gilliam House [PV Georgi]

Léopold Howley
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Message() / Sam 4 Déc - 13:57
Léopold Howley

« C’est pourquoi ce que Dieu a uni, que personne ne le sépare. »
Tu te mariera mon fils. Voila une assertion que mon père, évèque de Canterburry m'avait offerte alors que l'âge prenait le pas petit à petit sur ma vie. Le fils de cet homme ne pouvait que poursuivre la lignée, l'héritage. J'avais pourtant un frère plus jeune, mais c'était moi, le prodigue, l'héritier, celui qui avait la renommée, l'église, la croyance. J'étais son poulain et en tant que tel, peu importe ce que je pourrais vouloir, espérer, rêver. Je devais me plier aux exigences paternelle comme je l'avais toujours fait. Après tout, n'avais je pas suivi la voie de théologie sur ses désirs ? N'vais je pas pris l'habit pour lui plaire ? Certes, je m'y plaisais grace au temps, à la patience, à cette sensation de mettre la pain à la patte de ce monde triste et malheureux.
Certes, il y avait bien des personnes riches parmi elles, mais leurs dons, leurs frayeur de finir en enfer, leurs faisaient faire de beaux dons. Des dons qui allaient aux plus pauvres, permettaient d'organiser des kermesses, des repas pour les plus pauvres, des dons de vêtements, des emplois à trouver. Oui, l'église était une chose immense, magnifique en soit, effrayante surtout tant elle est tentaculaire.
Mais un prêtre, un pasteur, se doit d'avoir une épouse aimante, de faire ribambelle d'enfants, de promouvoir les valeurs de la famille en étant l'exemple même de celle ci. Voici qui était une chose que j’exécrais, que je haïssais même tant mon cœur désirait autre chose, tant mes rêves m'amenaient à des corps masculins et à leurs secrets. Certes, ce secret me détruisais et je priais chaque jour pour en être débarrassé, pour en être libéré à tout jamais.
Mais ce jour était particulier. Père m'avait trouvé...une prétendante, une femme pieuse et pure, veuve de son état qui devait être sauvée de son état de solitude et de désespoir. Quoi de mieux en ce cas qu'un prêtre pour lui faire la cour ? Mais le prêtre n'en a pas envie. Pourtant, il est là, présent dans le salon de la dame à l'heure ou les prétendants doivent y être, dans sa soutane impeccable, observant par la fenetre la vue qui s'offre à lui, attendant que la jeune femme soit disponible pour s'entretenir avec lui. Car après tout, elle fait partie des femmes les plus pieuses qui existe non ? Et la venue d'un prêtre ne devrait que la rendre...heureuse ?

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Georgiana Mountbatten
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Message() / Lun 7 Fév - 17:04
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☾☾ Assise sur un siège en velours, près de sa fenêtre, Georgiana lisait distraitement un roman. Ses yeux n’était pourtant pas sur les pages de l’ouvrage, mais tourner vers le ciel clément de cette journée londonienne. Une des rares sans aucun doute. La grisaille de l’Angleterre ne déplaisait en rien à la jeune femme, elle avait connu bien pire dans son Ecosse natale. Mais si absorbé fût-elle par les rares nuages qui passaient là, elle revoyait surtout sa dernière conversation avec son beau-père et sa mère. Tout le courage qu’elle avait déployé, pour leur faire face et devenir, enfin, un peu maîtresse de son destin. Elle s’était affirmée devant eux, proposant la meilleure des solutions pour tous. Que Fergus devienne l’héritier du Baron. Qu’Angus reprenne le titre familial. Qu’elle puisse finir sa vie et ses jours au couvent, sans plus jamais devoir dépendre d’un homme et qu’on n'attende plus rien d’elle et de son corps, de son âme, cent fois brisés l’un comme l’autre. Elle savait pourtant, que la partie ne se gagnerait pas si aisément. Une saison… c’était si long… une saison, c’est ce qu’on lui imposait d’attendre. Aussi, si aucun homme ne parvenait à la faire revenir en arrière, ils accepteraient l’inacceptable. Personne ne semblait vouloir comprendre, qu’à ses yeux plus jamais aucun homme ne trouverait grâce.

D’ailleurs, elle ne comptait pas vraiment recevoir de visite de courtoisie ou de prétendant. Il y avait bien assez de jeune demoiselle à marier, pour qu’on oublie qu’il y eu une veuve ici, dans la fleur de l’âge. Tant mieux. Néanmoins, elle était apprêtée de circonstance, comme toute saisonnière et parce qu’elle y était dès lors contrainte. Ce fût donc une surprise pour elle, qu’on lui annonça de la visite. « Je descends dans un instant, merci Sylvia. » Elle posa une étoffe sur la page ouverte et referma son livre. Aider de sa plus proche compagnie, elle remit de l’ordre dans ses vêtements et son allure, avant de se rendre au salon. Nul besoin de chaperon, lorsqu’on est veuve… Et lorsqu’elle découvrit l’identité de son visiteur, elle s’en sentit encore moins le besoin d’en avoir. « Mon père, c’est un honneur de recevoir votre visite » Le salua-t-elle d’une révérence impeccable et avec bienveillance. « Puis-je vous proposez quelconque rafraîchissement ? » Pour être pieuse, Georgiana l’était oui, malgré les épreuves et les douleurs, elle n’avait trouvé le salut que dans sa foi. Désignant les sièges d’une main, elle l’invita à s’asseoir, avant de pareillement prendre place dans un fauteuil. « Que me vaut, le plaisir de votre visite à Gilliam House ? »


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Léopold Howley
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Message() / Jeu 24 Fév - 14:29
Léopold Howley

« C’est pourquoi ce que Dieu a uni, que personne ne le sépare. »
La cour. Voila bien quelque chose que je ne comprenais que fort peu. Pourquoi fallait il que les messieurs passent des heures dans les salons, les boudoirs, les bal à faire la connaissance de demoiselles, les flatter, les adorer, mettre le monde entier à leurs pieds. Bien sur, je comprenais le besoin de prendre femme, car c'était là ce que Dieu souhaitait pour l'homme, sans quoi, pourquoi aurait il crée Eve depuis la côte d'Adam. Mais Pour ma part, je ne comprenais pas. Je n'avais jamais vraiment eu l'envie de me marier. Jamais vraiment eu l'envie de prendre femme et de faire ce que la bible nous inculquer. Certes, j'étais pour l'idée d'avoir un enfant, cela serait une bénédiction et un bonheur que d'avoir un petit garçon ou une petite fille que je pourrais aimer. Bien évidemment, comme tout adulte, je me jurerais de ne pas faire les erreurs de mes parents, mais, finalement, je les ferais et je comprendrais qu'il est facile de juger, mais difficile de changer.
Néanmoins, ainsi installé sur le sofa d'un salon de ladyMcLeod, jeune veuve de la baronnie de Gillam, je me sentais stupide, infantilisé et pour tout avouer fort penaud. Qu'est ce que je devais dire ? Qu'est ce que je devais faire ? Je n'avais pas appris ces uses et coutumes et si on apprécié de dire qu'un prêtre pouvait être un homme désiré de par son statut, notamment auprès des familles les plus pieuses, je ne voyais pas la chose ainsi, pas quand Sir Evans était revenu en ville et que les coups de fouets parsemant mon dos s'étaient intensifié pour faire fuir les désirs et les rêves qui m'assaillaient sur sa personne. Laissant ceux ci reprendre le pas sur mes pensées, je laissais cet homme envahir mon cœur et mon esprit quand la jeune veuve entra dans la pièce, me faisant me lever d'un bond, certainement quelque peu stupide. Pourquoi j'étais venu ici moi déjà ? A oui, mon père m'y a forcé...la pauvre, elle mériterait tellement mieux que cela. Mais nous étions l'un comme l'autre, les marionnettes de la société et il fallait nous plier aux convenances. Lui offrant un signe de tête des plus respectable à sa salutation, un sourire naquit sur mes lèvres, doux, bienveillant.

« Merci à vous de me recevoir Lady Mc Leod. »

Attendant que la dame prenne place avant de me réinstaller avec douceur j'acquiesçais lentement à sa proposition de raffraichissement.

« Ce serait avec plaisir Lady Mc Leod, je vous en remercie. »

J'étais gêné, ennuyé. Une certaine gêne me prenait au corps et au cœur. Seigneur, pourquoi rendez vous cela si difficile ? Si je devais réellement venir à me marier, pourquoi père n'avait il pu me prévoir un mariage arrangé, que l'on puisse fuir toutes ces sottises de cour. Nous nous serions marié, j'aurai forcé pour procréer un héritier puis nous nous en serions tenu aux courtoisies d'usage avec mon épouse. Mais non, je devais trouver par mes moyens sur recommandation de monsieur L’évêque... Me posant cette question sur la raison de ma visite, je sentais que le moment était venu. J'attrapais donc mon courage à deux mains, inspirant une grande goulée d'air avant d'observer la Lady.

« Comme vous le savez Lady McLeod, je suis le fils aîné de l'évêque de Cambridge et le pasteur d'une des plus grande communauté de Londres. En ce sens, l'on attends de moi que je prenne épouse, pieuse et vertueuse et je suis en ce jour chez vous, afin de vous demander la permission de vous courtiser en l'idée, si bien sur, vous le vouliez à l'avenir et si nos...nos... personnalité...s'accorde. De contracter devant dieu le saint sacrement du mariage. »

Voila...c'était dit. J'avais peut être mal fait les chose. J'aurai peut être du jouer plus simplement, mais je ne savais pas vraiment le faire. Sans compter que je préférais que mes intentions soient clair. Après tout, je mentais déjà assez dans ma vie, sans avoir besoin en prime de jouer sur ma façon de courtiser une dame.

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Message() / Jeu 24 Fév - 16:05
Georgiana Mountbatten



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☾☾ Un sourire aimable sur les lèvres, Georgiana prend place dans les confortables sofas du salon et face à son interlocuteur. Bien que troublée de la venue du prêtre en ces lieux, elle se montre détendue et affable, car après tout à des années de penser, qu’il s’agisse d’autre chose que d’une visite de courtoisie. Sonnant la petite cloche, elle demanda alors que l’on fasse servir des rafraîchissement pour son visiteur et pour elle-même. Ce dernier semblait d’ailleurs bien peu sûr de lui, en ce jour. Elle l’avait connu plus maître de lui-même, lorsqu’elle avait été écouter ses sermons à la paroisse de sa communauté. Après tout, Georgiana n’était pas attaché à une seule paroisse dans ce monde, car venant d’Ecosse, elle avait dû s’en trouver une à Londres, mais également sur les terres de feu son époux. Elle était toujours à l’affût d’une vision de la religion, qui faisait écho à la sienne. Ce pourquoi, elle s’était montré curieuse d’entendre le fils de l’Evêque de Cambridge. Mais voici, qu’il était dans son salon.

Une fois les rafraîchissements servit, elle espérait que cela détendrait quelque peu l’atmosphère, qui était quelque peu pesante, elle devait l’admettre. Elle prit un verre de limonade sur le plateau, tout en écoutant alors, le prête expliquer les raisons de sa venue. Heureusement, elle n’avait pas encore bu. Ses yeux bleus – déjà grand - s’ouvrirent de surprise et le rouge lui monta aux joues, jusqu’à la racine de ses cheveux bruns. Elle ouvrit une fois la bouche, avant de la refermée, peu sûre de savoir que répondre à cela. Une seconde fois, mais la tentative se solda de même par un échec. Diantre… Que dire, que faire… Elle était aussi gênée, qu’il l’était sans nul doute, peu rôdé à l’exercice du rôle de prétendant, visiblement. Il fallut quelques secondes encore à la jeune veuve, pour remettre ses idées en place. « Mon père, votre franchise est fort appréciable… » Commença-t-elle alors. « Mais, j’ai craintes de n’être que très loin de l’image de la vertu, que les gens se font. Vous n’ignorez pas que, je suis veuve et en cette condition… » Eh bien sa vertu était bien loin derrière elle, en somme, mais si depuis lors, elle était la piété et la sagesse même. Du moins l’essayait-elle.

Néanmoins, la jeune femme se mordit l’intérieure de la joue, se souvenant qu’elle devait après tout jouer, le jeu de la saison. Léopold n’était certainement pas le prétendant idéal aux yeux de son beau-père, mais il en était un, de par sa demande. Elle ne pouvait donc pas refuser de le laisser lui faire la cour. Sans compter que si… Après tout… Entre le couvent ou devenir femme de pasteur, il y avait-il grande différence ? Oui, le devoir conjugale, qu’elle ne voulait plus avoir à affronter, ni voir son ventre enflé de vaines et douloureuses promesses. Elle inspira alors, plus discrètement que lui cependant, avant de lui répondre. « Mais, si ma condition ne vous offense pas, alors… je vous autorise bien volontiers à mener votre cour, monsieur. Puissions-nous devenir bons amis, si jamais nos personnalités ne s’accordent pas, au point de nous voir fiancer. Cela vous agrée-t-il, mon père ? »


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Message() / Ven 4 Mar - 21:33
Léopold Howley

« C’est pourquoi ce que Dieu a uni, que personne ne le sépare. »
Stupide. Voici comment je me sentais, comme le dernier des imbéciles de cette Terre. Ourquoi fallait il que je courtise une dame ? Pourquoi devais je faire preuve de douceur, de gentillesse, de courtoisie, faire croire à une dame qui ne méritais rien de meixu que l'amour inconditionnel d'un homme à son égard, que j'étais apte à offrir ce genre de chose ? Je ne l'étais pas. Apte. Pret. Préparé. Désireux. Mon cœur me criait de fuir, de ne pas rester ici ou j'étais tel le jeune cerf attendant que le chasseur le happe d'un tir dont il ne pourrait jamais se relever et pourtant.
Pourtant j'avais parlé, offert mon idée, ma vision. Je ne voulais pas simplement lui faire la cour et l'épouser car on me l'avait demander. Je voulais la connaître, la faire me connaître et si cela coïncidé alors...nous pourrions envisager les noces. Autrement, cela serait peine perdu. Néanmoins j'étais fortement gêné par la situation et ma déclaration. Je tentais bien sur de cacher le rouge qui m'étais monté au joues en plongeant dans les méandres profond de mon rafraîchissement, mais je savais que cela ne serait qu'un pansement sur une jambe de bois. Dieu que je devais avoir l'air ridicule.

Pour preuve, cette pauvre Lady Mc Leod me faisait l'imitation d'un poisson qu'on venait de sortir de l'eau, ouvrant et fermant la bouche sans mot dire, comme si il était perdue dans je ne sais quelle pensée, comme si j'avais volé tout l'oxygène de cette pièce l’empêchant de respirer de nouveau. J'étais prêt à me lever et lui dire d'oublier tout cela, prêt à quitter la pièce en trombe et ne plus jamais montrer mon visage en dehors de mon église quand elle fini par reprendre la parole. Bien sur elle me remercia, la politesse élémentaire qui ne devait en aucun cas refléter la réalité, mais pour le reste je restais...quelque peu surpris. Ses mots me semblaient emprunt d'une sorte de tristesse et de mélancolie que l'homme de Dieu en moi attrapa au vol.

« La vertu est en bien des choses Lady Mc Leod. Vos actes, vos mots, font de vous cette personne honorable et pleine de vertu que la société encense. Être vertueuse c'est être empli de qualités et de bonne moralité, ce dont je ne doute point un instant que vous êtes. Quant à l'autre idée que vous avez eu...oui, je me doute qu'étant veuve vous avez connu...l'acte conjugale. »

du feu, mes joues étaient en feu à devoir parler de cela ici, ainsi, comme si j'annonçais au monde, à cette femme que je voulais la prendre et lui faire l'amour alors que...grand dieu, l'idée même me donnait la nausée. Non qu'elle ne soit pas splendide, mais...quand je pensais à cela, le démon en moi ne me montrait que le corps fort et musclé d'un homme qui m'étais interdit. Pourtant, après quelques instant de réflexion, elle consenti à ma demande et j'acquiesçais quelque peu, entre joie et tristesse.

« Merci Lady Mc Leod. J'espère de tout cœur que, si nous ne trouvions la voie de l'amour maritale, au moins trouverons nous celui de l'amitié. »

Un sourire, bienveillant naquis sur mes lèvres. Je n'avais que peu de doute que l'on finisse simplement ami, mais après tout, elle était femme des plus belle et sympathique. Néanmoins...il me fallait lui faire un dernier aveu.

« Si vous me permettez néanmoins, je me dois désormais de vous faire un aveu....je n'ai aucune idée de ...comment on fait la cours à une dame. Voyez vous, ce n'est pas écrit dans les sainte écriture. »

Je ris un peu, amusé, espérant que cela détendrait l’atmosphère, me demandant si elle verrait là une blague ou si elle comprendrait que...j'étais sincère !

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Message() / Dim 22 Mai - 19:37
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☾☾ La jeune veuve fût très surprise du discours de son visiteur, car après tout, la société a-t-elle réellement autant de bon sens ? Les veuves, comme elle, sont souvent imaginées comme des femmes libérées, se dépravant dès lors, afin de combler la tristesse de leur cœur ravager par le deuil. Georgiana n’était ni l’un, ni l’autre. Loin de se dépravée, car affreusement meurtrie dans son âme et dans sa chair. Ni libérée, car sa famille faisait encore peser le poids du mariage au-dessus d’elle. Si, on lui avait consentit d’avoir un enfant, libre elle aurait pu l’être. Et son cœur n’était nullement ravager par le deuil, mais empli de la joie de n’avoir plus de bourreau en sa maison, mais toujours vivant dans la crainte de s’en attacher un nouveau. « Vos paroles sont pleines de bon sens, mon père. Puisse la société les entendre et s’accorder à elles. » Conclu-t-elle trempant enfin ses lèvres dans sa boisson, pour en savourer la fraîcheur et la vertu désaltérante. « Je suis navrée si, cela vous a mis mal à l’aise. Mais, je ne sais que trop bien, qu’il est souvent mal interprété, le remariage d’une veuve. Je ne voudrais pas que vous soyez fustigé en quelques façons, par votre choix de vous intéresser à ma personne. »

C’était bien la dernière chose qu’elle souhaitait. Être source d’ennuis pour quiconque d’ailleurs, même si du fait de son sexe, elle était un poids selon la société. Tant qu’elle ne serait pas remariée et mère. Que tout cela avait une saveur des plus amère. « J’en suis persuadée, mon père. » Oh, elle n’avait pas de doute qu’elle apprécierait la compagnie amicale du pasteur. Mais tout comme il semblait lucide sur l’idée qu’une affection sincère doit se mêler au mariage, elle était lucide sur le fait que ça prendrait bien du temps dans son cas.

L’aveu de son visiteur lui tira un sourire amusé et même un rire léger. Non, effectivement, elle avait assez lu les saintes écritures pour savoir qu’elles n’évoquaient pas tout. Elle se doutait donc, qu’il n’avait aucune pratique, ni connaissance en la matière, mais elle ne s’en offusquait pas le moins du monde. Au moins, serait-il plus sincère que la plupart des nobles rôdés à l’exercice. De plus, elle ne pouvait pas sincèrement dire qu’elle était absolument experte en la matière. Son sort ayant été scellé par son père, avant même le début de sa saison. Néanmoins, elle se devait de rassurer son nouveau prétendant. « Soyez vous-même, c’est à mes yeux ce qui compte le plus. Pour le reste… » Elle haussa ses frêles épaules avant de reprendre. « Ma foi, quelques invitations à des promenades ou à prendre le thé dans quelques maisons réputées pour cela, afin que nous échangions sur nos vies, nos idées, nos perspectives, feront le reste. Oh et il est souvent de bon ton de faire livrer quelques cadeaux. Les fleurs me suffiront amplement, ne vous mettez pas trop de pression pour cela. » Georgiana marqua une pause afin de réfléchir. « Je pense avoir fait le tour. Cela vous rassure-t-il ? »



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Message() / Dim 5 Juin - 11:29
Léopold Howley

« C’est pourquoi ce que Dieu a uni, que personne ne le sépare. »
Un encensement, une validation. Voilà qui était pour me plaire, moi qui ne savais pas vraiment sur quel pied danser dans cette situation fort cocasse pour ma personne. Faire la cour à une dame. Voilà qui était étrange. Pourquoi devrais-je faire la cour à une dame ? Me marier ? Je n'avais aucune envie de cela et bien que je me refuse absolument et irrémédiablement à l'admettre, si cela devait arriver, j'aurais autant aimé avoir pu courtiser Jacob et l'épouser il y a quatre ans de cela. Mais la bougrerie est pêché capital, puni de Dieu et des hommes et j'avais abandonné cette folie bien loin dans mon esprit à l'instant même ou elle avait pris forme, rêve stupide et insensé que de voir deux êtres de même genre s'aimer ouvertement et obtenir le saint sacrement du mariage.
Parlant donc vertu et poids de celle-ci, les choses furent mise rapidement au clair avec la veuve McLeod. Certes, elle n'était plus une jeune débutante, ingénue et pure, mais elle était pieuse, vertueuse et de fort agréable compagnie. Cela n'était il point suffisant pour faire d'elle une jeune femme digne d'affection et désirable au mariage ? Bien sûr, parler de l'acte conjugal était chose qui me mettait mal à l'aise. Non, que je sois de ces prudes échaudés qui crient au blasphème à la moindre apparition de peau ou blague quelque peu grivoise. Ce n'est point parce que l'on embrasse la voie de l'église que l'on entend ou ne raconte pas ce genre d'histoire dans les couloirs de l'université. Après tout, nous ne sommes que des hommes derrière cet habit et comme tout homme nous avons nos besoins et nos désirs, même si les miens sont pour le moins particuliers. La dame remarquant très certainement mon trouble chercha à me rassurer, mais il n'en était nul besoin et c'est d'un mouvement négatif de la tête que je lui signifiais.

« N'ayez crainte Lady McLeod. Je ne suis en aucun cas mal à l'aise et n'ai que faire des on-dit quant à la possibilité que nous parvenions à une union maritale. De plus, peut-être seriez, vous rassurée d'entendre que c'est mon père, l’évêque de Cambridge qui m'a soufflé votre nom. En ce sens qui sont les membres de la société pour vous juger sur l'évêque lui-même vous trouve digne d’intérêt pour ma personne ? »

Lui offrant un sourire mi ravi, mi gêné, d'annoncer ainsi que, sans le concours de son père, il n'aurait pas pensé à venir lui faire la cour, lui qui ne pensait tout simplement pas à faire la cours à une Lady, il chercha le réconfort et la sécurité dans la boisson chaude que son hôtesse lui avait fait servir. Pourtant, une chose était importante à mes yeux. Le fait que, même si l'amour ne toquait pas à notre porte, nous puissions nous dire et nous considérer comme ami. Puis, l'amour était il réellement nécessaire dans un mariage ? N'était ce pas un contrat, une union qui permettait d'accorder la sécurité à une femme et une descendance à un homme. Tant qu'il y avait respect et amitié, pourquoi chercher plus loin si la flamme ne s’allume pas ?

Par ailleurs, une question, certes embarrassante se posa, mais devait être annoncée. Il ne savait pas, comment faire la cours. Ce n'était clairement pas le genre de choses que l'on apprenait au séminaire et s'il avait des envies de charmer son beau-frère, il n'avait aucune idée de comment on s'y prenait avec une dame ou une lady. Cet aveu fait et le rouge me prenant les joues alors qu'un magnifique rire quittait ses lèvres, je n'osais pas croiser son regard. J'étais vraiment le dernier des idiots. Pourtant, elle répondit avec douceur et franchise et alors qu'elle énoncée quelques idées, je fis une chose plus stupide encore. Je sortais de ma veste un petit carnet ou je me mis à noter, consciencieusement, tout ce qu'elle me disait. Les promenades, le thé, les cadeaux, des fleurs, peut-être, pourrais je trouver un bijou ? Je me souviens que Jacob avait offert un bijou à Charlotte. Et alors même qu'elle me demandait si cela me rassurait, j'acquiesçais, finissant mes notes pour ranger mon carnet.

« Tout à fait Lady McLeod. Je vous remercie d'être si compréhensive par ailleurs. Puisque nous sommes à discuter de ces choses, puis je vous inviter à une promenade dans les jardins de Vauxhall dimanche après-midi ? Si le temps le permet bien sûr. Nous pourrions, tel que vous l'avez énoncé faire plus ample connaissance et peut être même échanger nos points de vue sur divers sujets ? »

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Georgiana Mountbatten
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Message() / Ven 10 Juin - 15:49
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☾☾ Un instant, la surprise se lu sur le visage de Lady McLeod. Ainsi donc, c’était à l’évêque de Cambridge, qu’elle devait la visite de son fils. Ciel. Oh, elle n’était pas vexée, que l’ecclésiaste ne soit pas ici de son propre fait ou choix. Loin de là. Jusqu’ici, elle aurait même parié qu’aucun prétendant ne passerait la porte de la maison. Parce qu’elle était une veuve, d’abord. Parce qu’elle n’avait plus la fraîcheur des toutes jeunes débutantes. Et enfin, parce qu’elle n’avait pas réellement de titre intéressant ou de fortune à offrir à un futur époux. Certes, les avoirs de son beau-père qui passerait-elle par seraient intéressants. Toutefois, Hector Gilliam était encore bien de sa personne et loin de passé de vie à trépas. Dès lors, il se passerait un temps, avant de profiter des largesses de l’héritage. Que le père Howley ne soit pas ici par sa propre envie, lui avait paru être une évidence, dès qu’il avait parler de lui faire la cour. « Oh ! Je suis… Ciel… je n’ai pas les mots pour décrire l’étonnement qui est le mien. Je n’imaginais pas que je puisse, en quelque façon, faire si bonne impression à l’évêque lui-même, pour qu’il vous suggère de vous intéresser à ma personne. »

Au même titre que les puissants, l’évêque avait bien du pouvoir ici-bas et était une personne de qualité, des plus respectables. Il était donc un honneur pour la jeune veuve, d’avoir su attirer l’approbation de ce dernier concernant une potentielle alliance avec son fils. Voilà qui saurait sans nul doute ravir son beau-père, même si elle savait que ce dernier espérait sans doute autre chose qu’un mariage avec un religieux. Mais qui sait, peut-être le père Léopold était-il appelé à son tour à prendre la suite de son illustre paternel.

Un nouveau sourire attendrit se dessina sur son visage, lorsqu’elle le vit prendre note de ses paroles. Décidément, cet homme était surprenant, mais dans un sens non péjoratif. Sa naïveté face aux choses de l’aristocratie était presque un vent de fraîcheur pour Georgiana. Il était loin des hommes qu’elle avait connus jusqu’ici et en cela, il lui inspirait bien plus confiance qu’aucun autre en ce monde. En même temps, sa connaissance des hommes se limitait à ceux de sa famille, feu son époux et l’affreux Lord Mountbatten, toujours prompt à lui faire de mauvaise blague. Rien qui ne soit comparable à son visiteur. « J’en serais ravie. Le Vauxhall est un endroit que j’apprécie particulièrement, voyez-vous. J’y ai souvent trouvé la quiétude et le repos de l’esprit. J’ai hâte de vous y accompagner. » Et il n’y avait aucun faux semblant ou mensonge dans ses paroles. Car la sincérité du prêtre avait au moins touché son envie de mieux le connaître et de s’en faire un ami.




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Message() / Mar 21 Juin - 17:27
Léopold Howley

« C’est pourquoi ce que Dieu a uni, que personne ne le sépare. »
La surprise, c'était l'émotion qui avait pris possession du visage de Lady McLeod alors que je lui annonçait que c'était mon père, l'évêque en personne qui m'avait parlé d'elle. J'en étais quelque peu gêné, après tout, une dame courtisée pouvait espérer l'être pour ses qualité, pour avoir touché le cœur de son courtisant, non parce que le père de celui ci lui a dit qu'elle porte poussé et qu'elle demoiselle courtisé. Néanmoins, cela montrait aussi très certainement combien 'j’étais intéressé par ces jeux de cours et de séduction. Aucune femme ne m'avait jamais fait vibrer le cœur et l'âme, me donnant l'envie d'aller lui faire la cours, de la faire mienne, de lui donner mon nom et de la faire porter mes enfants.
Sentant ainsi mes joues s'empourprer et la chaleur me prendre la nuque et le visage j'acquiesce lentement, elle était une femme douce et délicate, une dame pieuse qui croyait en Dieu et dont la réputation n'était plus à faire. Sans compter qu'elle était particulièrement jolie selon ce que je pouvais entendre aux alentours. Personnellement, je la trouvais jolie certes. Mais je ne voyais pas ce qu'elle pouvait avoir de plus qu'une autre. La plus belle femme au monde était ma sœur. Rien de plus, rien de moins à déclarer.
Pourtant, passant au delà de cela, je lui présentais les faits, mon désir de la courtiser et bien sur de mon peu d'expérience pour ces choses là. Sorti de mon église, je n'était plus bon à grand chose. Mais si cela pouvait sembler stupide, voir idiot, je préférais être honnête. Cette dame était veuve et connaissait donc la façon dont on pouvait être courtisée. Si elle s'attendait à de grande chose de ma part, elle serait forcément déçue. D’où le pourquoi des notes que je prenais. Cela pouvait paraître stupide ou enfantin, mais si je voulais retenir les attentes des dames en ce qui concerne la cour, il n'y avait pas tant de chemins possible.
C'est ainsi, que j'avais proposé une ballade dans les jardins de Vauxhall, un lieu agréable à voir et à découvrir qui semblait ravir la jeune dame, offrant ainsi au prêtre un sourire heureux, innocent.

« Je vous ferais en ce cas parvenir une invitation en bon et dû forme. Et si cette promenade et ma compagnie vous plaît, nous pourrions prévoir une autre sortie. Je suis assez friand d'opéra. Je ne sais si cela peut être de votre goût, mais avec un chaperon... »

Je rosissais un peu de nouveau, observant la pendule non loin, l'heure tournait et il n'allait pas falloir que je tarde trop, puis surtout, je ne savais trop que dire de plus à cette jeune dame.

« Bien, si vous le permettez maintenant, Lady Mc Leod, je vais prendre congés. Je ne voudrais point abuser de votre temps ou vous ennuyer avec des inepties. »

Me levant avec douceur, j'offrais une révérence à la jeune femme, suivi d'un sourire timide.

« J'espère avoir le plaisir de votre venu lors de la messe de dimanche. »

Que dire d'autre ? Rien...j'attendais simplement qu'elle me libère pour prendre le chemin du retour, aussi ravi qu'effrayé par ce qui viens de se passer.

( Pando )
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Georgiana Mountbatten
Georgiana Mountbatten
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Message() / Dim 3 Juil - 21:05
Georgiana Mountbatten



God will never let us down because his love is unconditional.
L'ECCLESIASTE DE GILLIAM HOUSE... ft  @Léopold Howley



☾☾ Georgiana avait depuis longtemps fait le deuil d’être courtisée pour sa personnalité ou parce qu’elle plaisait par ses manières. Depuis qu’elle avait été vendue au fils du meilleur ami de son père, comme on vend une poulinière à la reproduction. Le retour sur la scène du mariage ne lui avait pas donné l’impression qu’elle pourrait être digne d’intérêt, autrement que par ce qu’elle avait à offrir en dote : de l’argent, des terres et le titre de baron de son beau-père. C’était pour cela, qu’elle était à nouveau dans ce cirque infernal, se marier et enfanter, qu’il y ait un héritier au titre du baron. Rien de plus et rien de moins. Ses états d’âmes, ses envies et ses rêves, tout ça n’entrait pas en ligne de compte. Alors oui, Georgie était quelque part ravie que sa personnalité pieuse, dévouée et discrète ai pu plaire en une certaine façon d’un si haut représentant de l’Eglise Anglicane, pour qu’il suggère sa main à son fils. Cela ne s’était pas arrêter à son bagage ou son joli minois, et cela l’agréait plus qu’on ne le penserait.

De même, la personnalité aimable et honnête du pasteur lui était plus qu’agréable. Même s’il n’y aurait peut-être jamais d’amour entre eux, elle pensait sincèrement s’en faire un ami et éprouver assez de tendresse pour lui, pour conserver cela, avec ou sans mariage ; avec ses qualités et ses défauts. Ce qui de prime à bord semblait être une corvée, pourrait bien finalement, la réjouir plus qu’escompter. Toutefois, la veuve Gilliam ne vendait pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué. À nouveau, Léopold l’a surpris d’une bien agréable façon. « Je suis moi-même une grande admiratrice de l’opéra et j’adore m’y rendre. Ce sera donc à nouveau avec plaisir, que je m’y rendrais en votre compagnie, si la mienne vous agrée après cette visite au Vauxhall. Néanmoins, mon père, je suis veuve, je n’ai guère plus besoin de chaperon. » Dit-elle avec humour et bienveillance. Après tout, elle n’avait plus de vertu à devoir défendre… « Mais si cela vous met plus à l’aise, je suis sûr que mon beau-père ou ma tendre mère seront ravi de nous y accompagner. »

L’heure était désormais aux au revoir et Georgiana, bien au fait qu’il était temps que son prétendant officiel la laisse à ses occupations, afin de retourner aux siennes. « Vous ne m’ennuyez en aucunes manières, mon père, mais il est en effet convenable que cette entrevue touche à sa fin. » Se levant à son tour, elle le salua comme il se devait avant de lui offrir un nouveau sourire aimable et chaleureux. « Bien entendu, je ne manque jamais la messe, vous savez. Ce sera un plaisir d’entendre votre sermon, comme toujours. » Ainsi, elle laissa l’homme d’Église prendre la direction de la sortie, en compagnie d’un domestique pour lui tenir la porte. Finalement, la surprise tournait plutôt bien et cette saison, sur sa foi, était plus agréable qu’elle ne l’aurait cru.



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